C'est un syndrome dont nous avons tous entendu parler ces dernières années : le syndrome HPI (Haut Potentiel Intellectuel), qui a eu le droit à un sacré coup de projecteur avec la série HPI portée par Audrey Fleurot sur TF1. En France et partout dans le monde, les personnes HPI représentent seulement 2,28% de la population.
"Pourquoi il faut se battre et toujours prouver quelque chose ?"
Et, une certaine Adriana Karembeu fait partie de ces gens dont le QI est supérieur à 130... La mannequin a été diagnostiquée HPI en 2014, dans l'émission Les pouvoirs extraordinaires du corps humain, qu'elle anime avec Michel Cymès. Invitée sur le plateau de C à vous le 30 mai dernier, la star est revenue sur ce syndrome qui lui a souvent compliqué la vie. Adriana Karembeu a en effet dû redoubler d'efforts pour prouver qu'elle n'était pas "différente", malgré son statut de HPI. "Je n’ai pas ce combat. Je faisais mon métier, je le faisais bien et j’étais contente. Même si je n’avais pas ce Q.I élevé, et alors ? Pourquoi il faut se battre et toujours prouver quelque chose ? C’est ça qui me dérangeait le plus", a ainsi confié Adriana Karembeu face à Anne-Elisabeth Lemoine.
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Invité sur le plateau de C à vous le même soir qu'Adriana Karembeu, l'acteur Jean-Pascal Zadi s'est joint à la conversation autour du syndrome HPI : "Ça doit être bien d'être HPI", a-t-il assuré. Un petit commentaire qui n'est pas passé auprès de la mannequin, qui l'a vite recadré, parlant en connaissance de cause. "C'est chiant. Parce que c'est compliqué", a-t-elle martelé. Une manière de balayer les stéréotypes entourant encore ce syndrome...