"Un être mi-homme mi-cochon". La juriste Marcela Iacub dresse dans le Nouvel Observateur un portrait étonnant de Dominique Strauss-Kahn, avec qui elle confie avoir eu une liaison de 7 mois en 2012. "Ce qu’il y a de créatif, d’artistique chez Dominique Strauss-Kahn, de beau, appartient au cochon et non pas à l’homme", raconte-t-elle. "Le cochon, c’est la vie qui veut s’imposer sans aucune morale, qui prend sans demander ni calculer, sans se soucier des conséquences. […] Le cochon, c’est le présent, le plaisir, l’immédiat, c’est la plus belle chose qui soit, la plus belle part de l’homme. Et en même temps le cochon est un être dégueulasse, incapable d’aucune forme de morale, de parole, de sociabilité. […]
"Alors que DSK m’a toujours semblé être franchement à droite, ce communisme sexuel auquel il aspire en tant que cochon me réjouit", ajoute-t-elle dans l'interview, quelques jours avant la parution de son livre intitulé Belle et Bête et qui relate sa liaison avec l'ancien ministre et ancien directeur du Fonds monétaire international, actuellement mis en examen pour proxénétisme aggravé dans l'affaire du Carlton de Lille.