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Covid-19 : «Il y aura bien des sessions de substitution pour les examens»

Solène Delinger - Mis à jour le . 1 min

Frédérique Vidal était l'invitée d'Europe 1 ce matin. Au micro de Dimitri Pavlenko, la ministre de l'Enseignement supérieur a assuré que les étudiants n'ayant pas pu passer leurs partiels à cause du Covid auront la possibilité de les repasser lors de "sessions de substitution". Ces étudiants n'iront donc pas en rattrapage. 

L'enseignement supérieur s'organise face au rebond épidémique. Alors que de plus en plus d'étudiants sont contaminés par le variant Omicron , les universités leur proposeront des "sessions de substitution" pour rattraper leurs partiels, a assuré la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal ce matin sur Europe 1. Ces élèves n'iront donc pas en rattrapage. 

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Des sessions deux semaines à deux mois après la date de l'examen 

"Nous avons demandé aux établissements de mettre en place ces sessions dans les deux semaines à deux mois après la date de l'examen", a expliqué Frédérique Vidal sur Europe 1. Ces sessions concernent les étudiants qui ont été testés positifs au Covid-19. 

Le protocole est en effet très strict pour les étudiants atteints du Covid : il n'est pas question qu'ils se rendent aux examens. En revanche, "les règles ont évolué dans la définition des cas contacts", a souligné la ministre de l'Enseignement supérieur. "Lorsqu'on est complètement vacciné et négatif, on peut passer l'examen". 

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Les cas contacts négatifs peuvent passer leurs examens

Les cas contacts ont donc l'autorisation de passer leurs examens, à condition qu'ils aient un schéma vaccinal complet et réalisé un test PCR ou antigénique négatif. Frédérique Vidal a par ailleurs rappelé que le pass sanitaire ne s'était jamais appliqué pour les examens et pour les enseignements. "Et ça sera d'ailleurs la même chose pour le pass vaccinal", a-t-elle ajouté. 

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"Les taux de vaccination chez les 18-24 ans sont supérieurs à 95%. Les jeunes sont responsables et également très mobilisés pour la troisième dose", s'est réjouie la ministre au micro d'Europe 1. 

 

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