Emmanuel Macron a considéré dimanche soir qu'une deuxième journée travaillée non-payée pour financer la dépendance était "une piste intéressante" et qu'il n'était "pas contre" cette idée déjà évoquée jeudi par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.
"Une option". "C'est une piste", a indiqué le président de la République, lors d'un entretien sur BFMTV, RMC et Mediapart. "Est-ce que ça a bien marché la dernière fois ? Je ne suis pas contre, je pense que c'est une piste intéressante, il faut la regarder", a-t-il ajouté, en estimant que "ça (pouvait) être une option". La première journée avait été instaurée après la canicule de 2003.