Amal Bentounsi 1:25
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Jean-Baptiste Marty / Crédit photo : Martin Noda / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP , modifié à
La candidate issue de La France insoumise, Amal Bentounsi, se présente avec l'étiquette du Nouveau Front populaire dans la sixième circonscription de Seine-et-Marne. Selon les informations d'Europe 1, elle est connue pour 11 rôles de droit commun et inscrite au fichier des atteintes à la sécurité publique.

C'est une phrase écrite en 2015 qui refait surface avant le premier tour des élections législatives. "On ne peut pas reprocher à un croyant d’être homophobe, si sa religion le lui reproche", voici ce qu'écrivait Amal Bentounsi, aujourd'hui candidate LFI pour le Nouveau Front populaire dans la sixième circonscription de Seine-et-Marne, sur le compte du collectif "Urgence notre police assassine", qu'elle dirigeait.

 

Cette militante d'extrême-gauche sulfureuse a fait souvent parler d'elle, car selon les informations d'Europe 1, Amal Bentounsi est connue pour 11 rôles de droit commun et inscrite au fichier des atteintes à la sécurité publique.

Amal Bentounsi a fait de la police son ennemi numéro 1

La candidate issue de La France insoumise, âgée de 45 ans, est fichée pour mouvements extrémistes, mais aussi pour violences urbaines. Depuis la mort, en 2012, de son frère, un multirécidiviste tué par un policier lors d’une course poursuite, elle fait de la police son ennemi numéro 1.

Et aucune occasion ne lui échappe : elle noue des liens avec Assa Traoré après l'affaire Adama, et appelle les banlieues à manifester contre les violences policières. Bis repetita lors de l'affaire Nahel lorsque la militante d'extrême-gauche souffle sur les braises sans jamais calmer la colère des banlieues.

Participation à un rassemblement anti-colonial en 2016

Mais pire encore, l'action d'Amal Bentounsi ne se limite pas à la rue. En août 2016, la militante participe à un rassemblement anti-colonial aux côtés du groupe La Brigade anti-négrophobie, dont un de ses membres avait taggué la statue de Colbert devant l'Assemblée nationale en 2020.

Elle y anime notamment un atelier pour former à la résistance contre "le racisme policier". Ce militantisme ne pourrait qu'accroître le désordre à l'Assemblée nationale, si Amal Bentounsi venait à être élue le 7 juillet prochain.