La campagne présidentielle en tête, Manuel Valls frappe sur Nicolas Sarkozy. Lors d'un meeting de rentrée à Colomiers, près de Toulouse, il a fustigé "la menace considérable" que représente selon lui l'ancien président qui "impose" son agenda à la droite et qui "s'assoit sur les grands principes de la Constitution".
Un tacle à gauche. Manuel Valls tire aussi à gauche. Le chef du gouvernement a mis en garde contre "la surenchère des diviseurs", affirmant refuser de laisser la France "entre les mains des populistes et des démagogues" à la présidentielle de 2017.