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Dry January, comment s'y mettre vraiment ?

Mathis Lang . 1 min

Alors que la nouvelle année débute, nombreux sont ceux qui choisissent de participer au Dry January, un mois sans alcool pour préserver leur santé. Chacun rivalise d’astuces pour tenir bon : boissons alternatives, soutien moral ou anticipation. Une initiative qui séduit de plus en plus de Français, avec 4,5 millions de participants en 2024.

Une nouvelle année vient tout juste de débuter, l'occasion peut-être de se donner de nouveaux défis. Parmi eux, celui de réduire sa consommation d'alcool. Dangereuse pour la santé, elle provoque par exemple des troubles du sommeil et peut aller jusqu’à avoir une influence sur le développement de pathologies comme les cancers.

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Depuis des années, le Dry January séduit des millions de Français : 4,5 millions en 2024. Le principe est simple, ne pas boire une goutte d’alcool sur l’ensemble du mois. Pour tenir le coup, les téméraires qui se lancent dans l’aventure rivalisent d’ingéniosité.

"Je vais amener mes propres boissons"

Nora, 22 ans, est étudiante à Paris. Elle a plusieurs soirées au programme en janvier. Et c’est toute une organisation pour continuer à profiter, sans pour autant craquer. “Je vais amener mes propres boissons, des boissons un peu plus 'fun'. Ça peut très bien être du Champomy, par exemple. C’était très bon 'à l’époque', je ne vois pas pourquoi ça ne le serait plus !” lance-t-elle au micro d'Europe 1.

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"Ma compagne va m’aider en participant également à ce challenge"

De son côté, Gwen, professeur des écoles, le promet : le passage à la nouvelle année, c’était son "dernier excès". Cette fois-ci, son Dry January a bien commencé et il a tout misé sur l'anticipation pour l’aborder tout en douceur ! "J’ai déjà bien réduit ma consommation depuis le mois de septembre. À savoir que je ne buvais plus d’alcool en semaine, mais seulement le week-end, avec des amis. Je me dis que je peux continuer sur cette lancée durant un mois, au moins", raconte-t-il.

Le semi-marathon de Paris : c’est ce qui a poussé Alexandre à se lancer dans le challenge. Mais surtout, pour garder le cap, le jeune homme a su s’entourer. "Ma compagne va m’aider en participant également à ce challenge. Un certain soutien moral de la famille et des amis qui est l’une des petites astuces qui m’aidera à relever ce défi", assure-t-il.

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Que vous fassiez le Dry January en famille, entre amis, ou alors tout seul, accrochez-vous… Encore 29 jours à tenir !