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Laura Laplaud , modifié à
"L'Officiel des prénoms 2023" dévoile le top 20 des projections des prénoms qui seront les plus donnés en 2023. Des prénoms rares, répandus, classiques ou modernes, découvrez lesquels se trouve sur la première marche du podium féminin et masculin.

À l'occasion de la sortie de L'Officiel des prénoms 2023 aux éditions FirstEurope 1 vous dévoile le palmarès exclusif des prénoms féminins et masculins les plus à la mode pour l'année 2023. Et à première vue, plus le prénom est court, plus il pourrait être le prénom donné aux petits garçons et petites filles dans les prochains mois.

Plus le prénom est court, plus il a de succès...

Côté garçons, Gabriel domine encore la première place. Détrôné en 2020 par Léo, il était revenu au premier plan dès 2021 et devrait, cette année encore, conserver son titre. Léo arrive à la deuxième place, Raphaël à la troisième. Quel point commun entre les prénoms les plus tendances de 2023 ? Leur taille. "Le court continue d'être une composante majeure du succès. On n'a jamais vu autant de prénoms d'une syllabe (Louis, Liam, Jules et Paul) ou de trois à quatre lettres (Léo, Noé, Maël) briller à ce point dans les 20 premiers rangs", indiquent les auteures du guide, Stéphanie Rapoport et Claire Tarbaly Perrin.

Les prénoms en "A" ont toujours la cote

Côté filles, Emma ne retrouvera pas la tête du classement. À la première place pendant 16 ans, Emma était descendue en deuxième position l'an dernier et se retrouve en troisième position pour 2023, laissant ainsi la place à Jade, suivi de Louise. "Si les prénoms de la nature consolident leur progression (Ambre, Agathe et Jade pour les pierres, Iris et Rose pour les fleurs), les terminaisons en "a" (Emma, Léa, Mila et Léna), apparues avec force au début des années 2000, poursuivent leur reflux", notent les auteures.

Une nouvelle à quatre petites lettres grimpe de 47 places en un an et fait ainsi son apparition dans le palmarès à la sixième position : Alba. "Chose remarquable pour un prénom qui ne dépassait pas les 50 attributions annuelles en France avant 2012", ajoutent-elles.

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