Lyon se réveille… trop tard. Impossible de gagner un match après avoir loupé les 70 premières minutes. Une phrase à méditer pour les Lyonnais. Malgré un final incroyable, Lyon s’est incliné (4-3) contre le Benfica. En première mi-temps, l’OL a pris l’eau de tous les côtés. Une défense passive, des mauvaises passes et un manque d’agressivité. Dans le dernier quart d’heure, l’OL s’est réveillé. Un final spectaculaire, trois buts mais... une défaite. A lire : Lyon rate sa centième.
Le chiffre 100. Lyon ne doit pas miser sur le chiffre 100. Après la défaite des Lyonnais dans le 100e derby contre Saint-Etienne, l’OL s’est incliné pour son 100e match en Ligue des champions. Le président de l’Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, cherche encore le chiffre gagnant. Peut-être devrait-il faire appel à un numérologue.
Le stade de la lose. Aucune équipe française ne s’est jamais imposée à l’Estadio da Luz. Avec cette nouvelle défaite, Benfica fait honneur à ces statistiques. 10 matches : 5 défaites et 5 matches nuls pour les clubs français. Qui a parlé de chat noir ? A lire : Au stade de la lose.
Schalke loupe l’occas’. Avec la défaite lyonnaise, les Allemands de Schalke 04 avaient une belle opportunité de revenir à hauteur de l’OL. Occasion ratée avec ce match nul (0-0) contre Hapoël Tel-Aviv, l’équipe pourtant la plus faible du groupe B. Le prochain match sera capital. Dans 15 jours, Lyon ira défier les Allemands pour accrocher une qualification pour les huitièmes de finale.
Le show Bale. Il y a 15 jours, l’Inter s’était imposé dans la douleur contre les anglais de Tottenham. Mardi soir, les Spurs ont pris leur revanche (3-1) sur les Italiens. Samuel Eto’o a marqué son 7e but en quatre matches de Ligue des champions. Mais une fois de plus, c’est le jeune Gallois Gareth Bale qui a crevé l’écran. Un déboulé de 50 mètres pour offrir un caviar à Peter Crouch. Une demi-heure plus tard, il récidive : deuxième déboulé, un grand pont et un deuxième caviar. Sa cote n’a pas fini de grimper. A lire : Tottenham, la vie est Bale.
Copenhague sait jouer. Au tirage au sort de la Ligue des champions, l’équipe danoise faisait partie des petits poucets de la compétition. Après 4 rencontres et ce match nul contre le FC Barcelone (1-1), le FC Copenhague est tout près d’une qualification pour les huitièmes de finale.
L'agression signé Valdes. Dame N'Doye a failli ne pas finir la partie. A la 12e minute, le gardien du FC Barcelone sort les deux pieds en avant face au Sénégalais. Une agression qui rappelle celle d'Harald Schumacher sur Patrick Battiston lors du Mondial de 1982. Et la sanction dans tout ça ? L'arbitre n'a rien trouvé de mieux que de siffler une faute... danoise. À lire :Valdes, goal violent
La L1 déteint sur la C1. La Ligue 1 nous a souvent habitué à des matches nuls ennuyeux. Des 0-0 à la pelle qui ne donnent pas vraiment envie de se masser dans les stades. Mardi soir, le Rubin Kazan contre Panathinaïkos (0-0), et l’Hapoël Tel-Aviv contre Schalke 04 (0-0) ont fait brièvement penser à la Ligue 1. Rassurez-vous, 21 buts en 8 matches, ça reste une moyenne honorable.