Cette réquisition était attendue dans le procès des viols de Mazan : la peine maximale de 20 ans de prison a été requise contre Dominique Pelicot pour avoir drogué, violé et fait violer sa femme Gisèle Pelicot par des dizaines d'hommes recrutés sur internet. Si une banderole déployée devant le palais de justice d'Avignon réclame une même sanction pour les co-accusés, cela ne se produira pas, explique Stéphane Burgatt, correspondant d'Europe 1 sur place, dans l'émission Pascal Praud et vous, soulignant une "individualisation des réquisitions".