Vingt-sept ans après le succès de son one-woman-show Une journée chez ma mère, Charlotte de Turckheim remonte sur les planches pour rejouer le spectacle dans une version remaniée, avec la même trame mais avec des personnages confrontés à la vie d'aujourd'hui. Invitée dimanche de l'émission de Philippe Vandel pour cette nouvelle version du spectacle, l'actrice et réalisatrice a fait d'étonnantes confidences sur ses amours de jeunesse.
"Pas un très bel homme, une bombe". L'actrice confie avoir eu une relation avec Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire du PS. "J'étais très amoureuse de lui, j'ai adoré cet homme-là. C'était plus qu'une bombasse, c'était l'un des plus beaux mecs que j'ai jamais vus de ma vie. C'était une bombe. mais ça se voit encore je trouve. Il a un peu vieilli, un peu grossi, mais on voit quand même que ça a été un très très bel homme. Ce n'est pas que ça a été un très bel homme, ça a été une bombe", assure la comédienne.
Une aristocrate et un trotskiste. Mais l'histoire a plutôt fini mal, au beau milieu d'un RER. "Il allait à une réunion trotskiste je ne sais plus où. Il était très trotskiste à l'époque. Et au dernier moment, il s'est dit que ce n'était pas possible d'emmener une fille qui s'appelait Anne-Charlotte de Turckheim", raconte la comédienne qui confirme avoir été quittée sans ménagement.