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Marie Gicquel / Crédit photo : @nova_creation_ltd / Facebook , modifié à
Adaptée d'un conte Andersen, cette nouvelle comédie musicale raconte la malédiction qui frappe les coulisses d’un opéra. Une jolie histoire entre les "Illusions perdues" d'Honoré de Balzac et le "Fantôme de l’Opéra", mise en valeur par une partition pop.

C’est un binôme qui a sorti des tubes : Marc Lavoine et le compositeur Fabrice Aboulker ont sorti "Les yeux revolver" ou "Qu’est ce que t’es belle" et ont mis huit ans pour créer une comédie musicale : Les souliers rouges. Elle raconte la malédiction qui frappe les coulisses d’un opéra. Une jolie histoire entre les Illusions perdues d'Honoré de Balzac et le Fantôme de l’Opéra

Pour réussir sa performance sur le plancher de l’opéra, Isabelle, une jeune Ballerine accepte de chausser des souliers rouge maudits : quiconque porte ces chaussons rencontre le succès mais peut tirer une croix sur l’amour. Et évidemment, la danseuse va tomber sous le charme d’un journaliste, prénommée.

 

Dilemme dramatique

"C'est un mélange de Gainsbourg, de Philippe Manœuvre. J'ai pensé à Philippe Manœuvre ça me faisait marrer de faire un journaliste un peu rock", explique en rigolant Fabrice Aboulker. Un journaliste atypique, interprété par le chanteur Benjamin Siksou. "Le choix qu'elle a à faire entre la danse et l'amour, c'est le choix qu'on doit tous faire entre deux directions à prendre à tous les moments de la vie", complète-t-il.

Cette production enchanteresse réussit à recréer l’atmosphère fantastique du conte original d’Andersen avec ces grands voiles qui entourent danseurs et chanteurs sur scène… bien servis par une partition pop efficace.  "Les souliers rouges", un spectacle qui repart en tournée en région, bientôt à Lyon, à Arcachon ou encore Marseille.