Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Alexandre
On est vendredi, c’est toujours la première semaine de janvier. J’en profite pour me pencher une dernière fois sur vos bonnes résolutions avec cet article que j’ai repéré ce matin dans Libération. Libé nous présente une alternative au “Dry January”... l’arrêt total de l’alcool en janvier… Si ça vous paraît contre-indiqué… on va dire si ça vous paraît hors de portée… vous pouvez aussi tenter le “Damp January”... littéralement, le janvier humide… plutôt que “Dry January”... le janvier sec… vous la voyez la nuance ?
Dry January, c’est zéro alcool… Damp January… on en boit juste un petit peu ? Exactement… ça veut dire, on ne s’arrête pas complètement de boire, mais on s’engage à modérer sa consommation d’alcool… Si vous avez souvent la main lourde au dîner… un verre et pas plus… et pas tous les jours… Si vous enchaînez les pots avec les collègues, vous ne séchez pas tous les rendez-vous… mais vous ralentissez… et quand vous les rejoignez, les collègues… vous mettez le frein sur les tournées…
C’est quelque chose qui arrange bien l’industrie de l’alcool sans doute… plus que le “Dry January” ! Bien vu, Dimitri… et bien évidemment le lobby des alcooliers pousse vers le “Damp January”... on trempe juste ses lèvres dans un petit verre et c’est tout… oui, sauf qu’on s’éloigne totalement de l’intérêt du janvier sec… et des addictologues le rappellent… l’intérêt au départ, c’est de s’interroger sur sa consommation d’alcool et de vérifier si on a une sensation de manque, ce qui n’est pas bon signe… évidemment si vous levez le pied sans arrêter l’alcool ça ne marche plus.
Il y a une façon plus optimiste de voir les choses… le verre à moitié plein… on peut aussi se dire que le “Damp January”, c’est un premier pas… ralentir d’abord plutôt qu’arrêter net… c’est plus facile à atteindre… d’autres experts rappellent aussi que chaque verre non bu, c'est déjà bénéfique… ça évite aussi de transformer le mois de janvier en punition… Dry ou Damp, chacun se fera son opinion et sa consommation… mais toujours dans la modération…
Ombline
Vous serez peut-être devant TF1 ce soir ! Devant un documentaire inédit avec en vedette Pascal Légitimus, Bernard Campan et Didier Bourdon… Les Inconnus se confient comme jamais, c’est la promesse ! Ils reviennent en tout cas sur leur histoire… et leur carrière composée de chansons et de sketchs… Ce matin, le quotidien Aujourd’hui en France nous offre un petit florilège de ce qu’on va pouvoir apprendre ce soir. Et franchement certaines anecdotes nous étaient inconnus ! Avant justement de parler de ce nom, les « Inconnus », on apprend qu’à l’origine, ils étaient 5 ! Vous le saviez ?!
Il y avait Smaïn et Seymour Brussel. Ils s’appelaient Les Cinq et se produisaient dans l’émission le Théâtre de Bouvard sur Antenne 2. On était dans les années 80. Vous les avez peut être vu dans le film drôle et absurde « Le téléphone sonne toujours deux fois »... Smaïn est le premier à partir, Seymour Brussel 3 ans plus tard… fâché avec leur producteur Paul Lederman… Les Inconnus vont longtemps rester en conflit avec Paul Lederman !
Oui détenteurs du nom ! C’est pour cette raison que dans le film Le Pari, qui sort en 1997, deux après les 3 frères, il n’y a que Bernard Campan et Didier Bourdon… Ils ne sont pas autorisés à se produire ensemble sans reverser une partie à leur producteur. Quant à leur nom Les Inconnus donc… c’est aussi à cause d’une fâcherie ! avec Philippe Bouvard… fâché de voir inscrit sur les affiches de leur spectacle « Vu au théâtre de Bouvard ». Ils ont dû le dédommager.
Et puis les Inconnus, ce sont aussi des chansons ! Et même deux Victoires de la Musique ! « Isabelle à les yeux bleus », « C’est toi que je t’aime » et puis « Vice et Versa ». Vous vous souvenez du nom que les Inconnus ont donné au groupe qui chante Vice et Versa ? Tranxen 200 ! Le Tranxen qui est un tranquillisant ! Les Inconnus dans Aujourd’hui en France et ce soir sur TF1