L’espion du KGB qui a trahi Moscou et le mystère de la belle Madeleine

Nous sommes en France dans les années 50, ce récit se base sur les aveux d’une femme, Denise. Condamnée à la perpétuité, elle n’effectuera que 14 ans de réclusion, pour quelle raison ? Dominée par son attachement pour Jacques, un homme qui se veut “philosophe” et très dominant dans sa personnalité, Denise va se laisser convaincre de commettre un acte abominable, qu’il lui faudra entreprendre 4 fois avant de réussir. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Cinq balles seront tirées depuis ce pistolet Browning, dissimulé dans un mouchoir de soie mais seulement quatre toucheront leur cible, une petite femme mince, victime de la jalousie d’une autre. Sur ce perron, Lady Owen déverse son amertume sur une femme qui n’a rien demandé… Quels démêlés les opposent ? Quels évènements ont conduit Lady Owen à ce geste ultime ? Il faut pour cela remonter le temps lorsqu’elle s’appelait encore Edmée Naudeau. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Un matin d’août 1970 à Rochester dans l’Etat de New York, un dénommé Fred retrouve dans son salon les habits de Gary, son ami qu’il a hébergé pour la nuit. Intrigué et inquiet, il remarque que l’intégralité des denrées de son réfrigérateur se trouvent sur la table de la cuisine…Il se précipite pour ouvrir la porte de son meuble, à l’intérieur se trouve Gary entièrement nu et frigorifié ! Après l’en avoir sorti et fait reprendre ses esprits, il est temps de passer aux questions…. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Lorsque les enquêteurs pénètrent au domicile de Fernand Delaris, mort de deux balles à bout portant tirées dans la tête, il notent qu’une photo est déchirée et que l’arrière du canapé a été éventré, comme pour servir de cachette. Sur l’un des ressorts, un morceau de laine est accroché, qui semble provenir d’un habit déchiré. Les soupçons se portent évidemment sur l’épouse de Fernand, Suzanne, avocate, qui semble se disculper un peu trop vite et froidement. Elle connaît la machine judiciaire… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Jean Martin possède une ferme à la campagne, il épouse Isabelle qui a deux adolescentes d’un premier mariage. La vie semble simple à la ferme jusqu’au jour où Jean surprend l’une de ses deux belles-filles à batifoler derrière une meule de foin. Cela lui donne une idée, “telle mère, telles filles”... Et se met abuser des 2 jeunes filles. Dénoncé par son frère, Jean Martin est jeté en prison et ne sort que deux ans plus tard. Lorsqu’il arrive à la ferme, il s'aperçoit que son frère en a profité pour prendre sa place. [Note : A 6’48, Pierre Bellemare évoque “Juliette” pour parler de l’épouse. Mais la femme de Jean Martin s’appelle bien Isabelle. Juliette est l’une des filles, c’est une petite erreur de lecture, corrigée par la suite] Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Londres, 1912. Frederic Sedon fait face à la cour, au jurés et au magistrat. Reconnu coupable d’assassinat et condamné à mort, il déclare une dernière fois être innocent. Innocent du meurtre de Mary Barrow, qui était la locataire d’un appartement lui appartenant. Mary est une excentrique, excessivement sale et un jour, elle succombe d’après le médecin d’une fièvre typhoïde. Pourtant des chimistes s'aperçoivent que les cheveux de Miss Barrow étaient imprégnés d’arsenic. L’arsenic est un composant présent dans le papier tue-mouche, retrouvé en grande quantité au domicile délabré de Mary. Frederic Sedon et son épouse en avaient acheté en grande quantité pour en exterminer les centaines de mouches… Empoisonnement involontaire ou provoqué pour se débarrasser de cette locataire gênante ? Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Roger est bûcheron et connaît bien la forêt, c’est d’ailleurs grâce à ça qu’il va réussir à échapper aux gendarmes qui le cherchent pour le meurtre supposé de sa femme. Lorsqu’il est attrapé et traîné en justice, on le condamne à perpétuité alors que le cadavre de son épouse n’a jamais été retrouvé. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes en Allemagne dans les années 50, Christa Lehmann est mariée à un homme de 10 ans son aîné, violent et alcoolique. L’idée lui vient de l'empoisonner lors de ses courses, l’icône tête de mort sur un produit antiparasitaire pour les plantes semble dessiner une solution, le E-605 sera le prix de sa liberté. Dès lors, à chaque fois que Christa se retrouvera dans une impasse, les ampoules de E-605 dissimulées dans son armoire à vêtements seront sa solution. Mais le hasard doublé de malchance conduira Christa à se faire démasquer.. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes en 1956 dans la province Suisse près de Zurich. Joseph Stocker est un prédicateur né. Avec l'aide de sa compagne Marie-Madeleine et de la sœur Stella, il fonde une secte religieuse prédisant la fin du monde en 1957. Ils ont réussi à convaincre de nombreux fidèles de leur donner de l'argent pour construire une "arche de Noé" censée les sauver du déluge. Pourtant lorsque le déluge ne survient pas, Joseph et Marie-Madeleine s’exilent avant de refaire surface chez une famille de fidèles, les convaincant ainsi qu’une poignée d’autres, que l’aînée de la famille est la maîtresse du diable. Ainsi, la pauvre Bernadette est séquestrée, punie, rendue folle par l’acharnement des autres, et le dénouement de cette histoire est tragique. /!\ Avertissement /!\ Le contenu de cet épisode peut heurter les personnes sensibles et/ou déclencher un certain malaise lors de la narration. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Jean-Jacques Liabeuf vient de Saint-Etienne et a suivi une formation de cordonnier. À l’âge de 21 ans, Liabeuf enchaîne les courtes peines de prison pour vols divers et variés. Il part ensuite faire son service militaire en Afrique et s’installe à Paris à son retour. S’ensuit alors une succession d’évènements d’infortune pour le jeune cordonnier : injustement arrêté le 31 juillet 1909 sur soupçons infondés de proxénétisme, il fréquente alors “la grande Marcelle” , prostituée de son état. Il écope de trois mois d’emprisonnement couplés à cinq années d’interdiction de séjour dans la capitale. À sa sortie de prison, Jean-Jacques Liabeuf est amer. L’injustice qu’il a subi le ronge tellement qu’il ne peut se résoudre à laisser passer un tel outrage. Son expérience de cordonnier va lui servir à fabriquer les instruments de sa vengeance. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.