Une série de perquisitions et d'interpellations ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi au sein de l'agglomération grenobloise, dans le cadre de l'état d'urgence décrété après les attentats de Paris, selon une source proche du dossier.
Pas de lien direct avec les attentats. Cette opération antiterroriste, similaire à d'autres menées ailleurs en France, notamment à Toulouse, concernait des dossiers "pas encore judiciarisés", à mi-chemin entre délinquance de droit commun et radicalisme, a-t-on précisé de même source. Elle n'avait pas de lien direct avec l'enquête sur les attentats de Paris.
Armes saisies. L'opération a été menée notamment à Grenoble, Saint-Martin d'Hères et Echirolles. Selon le quotidien Dauphiné Libéré, "plus d'une demi-douzaine de personnes" ont été interpellées, des armes saisies ainsi que de l'argent.