Le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, a à nouveau regretté jeudi le manque de réformes en Syrie, soulignant que la France avait partout le même discours, affirmant qu'il revient aux peuples de définir leur destin et "aux tyrans de lâcher prise".
Interrogé au Sénat sur la Syrie, le ministre a rappelé que la France avait "très explicitement condamné toutes les violences exercées contre les peuples, les manifestations". "On ne réprime plus aujourd'hui les manifestations populaires en utilisant des armes ou en tirant sur les populations", a-t-il dit.