Robert Ménard 1:56
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Les échanges d'attaques transfrontaliers entre Tsahal et le Hezbollah au Liban sont de plus en plus intenses et fréquents. Invité du Grand Rendez-vous, sur Europe 1/CNews/Les Echos, Robert Ménard, maire divers droite de Béziers, se réjouit de l'offensive israélienne contre le Hezbollah.

Le conflit grandit de jour en jour. Après une semaine marquée par l’explosion soudaine des bipeurs et talkies-walkies des membres du Hezbollah au Liban, le mouvement islamiste et terroriste a accusé Israël d’être à l’origine de ces attaques. Ce dimanche matin, l'armée israélienne a indiqué qu'elle menait des frappes sur des cibles du Hezbollah, après que le mouvement islamiste a tiré des dizaines de roquettes sur des zones habitées dans le nord d'Israël.

"Pas une larme pour les terroristes du Hezbollah"

Face à l'accélération du conflit, Robert Ménard, invité du Grand Rendez-vous, sur Europe 1/CNews/Les Echos, salue la défense de l'État hébreu. "Je suis même content de la raclée qu'Israël vient de mettre au Hezbollah", targue le maire de Béziers, ajoutant qu'il n'aurait "pas une larme pour les terroristes du Hezbollah".

Le premier édile explique qu'il est ravi de constater que l'état israélien et les services du pays sont capables de mener des attaques de grande ampleur. "C'est une bonne nouvelle. Parce qu'après ce qui s'était passé le 7 octobre, on s'est demandé comment ils avaient pu passer à côté de la préparation de ce pogrom", explique-t-il au micro d'Europe 1/CNews/Les Echos.