Le jeu d'aventure Pékin Express est de retour sur M6 après quatre ans d'absence. Le 12 juillet, huit binômes s'affronteront lors d'une course qui va de Bornéo au Japon, en passant par la Malaisie. Une course qui se veut "infernale" si l'on en croit le sous-titre de l'émission. "On a gardé les fondamentaux de 'Pékin' car c'était important que les gens retrouvent ce qu'ils ont aimé, mais il fallait changer quelques petites choses", explique jeudi Stéphane Rotenberg, l'animateur de l'émission, au micro de Philippe Vandel, sur Europe 1.
De nouveaux obstacles. "On a hystérisé la course, notamment en ajoutant des panneaux "voiture interdite". Les candidats doivent alors descendre de voiture et prendre un moyen de transport local, une pirogue, un tuk-tuk par exemple". Autre nouveauté : le dernier binôme de chaque course doit choisir une autre équipe à affronter lors d'un sprint final. "Vous n'êtes donc jamais sûr d'être sauvé ou éliminé", pointe Stéphane Rotenberg.
Un candidat de 80 ans. Cette nouvelle saison est également marqué par la présence d'un candidat vermeil, Maurice, âgé de 80 ans. "On fait maintenant des tests médicaux et le médecin a été bluffé, il est en pleine forme", relate l'animateur ajoutant qu'outre l'état de santé des candidats la plus grande crainte de la production concerne la route. "Le problème, ce n'est pas les 80 ans de Maurice, le problème c'est le stop", assure-t-il. "On ne pourra jamais être au risque zéro. On a peur, oui, mais on fait notre maximum".