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Affaire PPDA : «On savait qu’il aimait les femmes jusqu’à l’excès», confie Jacques Legros

Solène Delinger - Mis à jour le . 1 min

Jacques Legros était l'invité d'Europe 1 ce mercredi matin dans "Culture Médias". Au micro de Philippe Vandel, le journaliste de TF1 est revenu sur l'affaire PPDA, accusé de viols et d'agressions sexuelles par plusieurs femmes. Jacques Legros l'assure : à TF1, tout le monde était au courant que PPDA "aimait les femmes jusqu'à l'excès". 

C'est un sujet qu'il n'aborde pas dans son livre Derrière l'écran. Invité au micro de Philippe Vandel dans Culture Médias ce mercredi matin sur Europe 1, Jacques Legros explique pourquoi il n'a pas écrit une seule ligne sur Patrick Poivre d'Arvor dans son nouvel ouvrage, alors qu'il s'est épanché sur Jean-Pierre Pernaut dans tout un chapitre.

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"On le savait tous, absolument tous"

"Je ne suis pas juge", assure le joker du 13 heures de TF1, qui assume donc de ne pas avoir abordé l'affaire PPDA, accusé de viols et d'agressions sexuelles par plusieurs femmes. L'ancien présentateur star du 20 heures de TF1 est ainsi visé par 21 plaintes, selon le décompte du Parisien. Interrogé à ce sujet par Philippe Vandel, Jacques Legros assure qu'à l'époque tout le monde à TF1 savait que PPDA avait un goût démesuré pour les femmes.  

"Je ne dis pas que je n'ai pas un avis, mais encore une fois... Et ça on n'arrive pas à le faire comprendre. Je ne parle pas au nom de la direction de TF1 de l'époque, mais... Poivre, on savait qu'il aimait les femmes jusqu'à l'excès, ça on le savait tous. Absolument tous", affirme l'invité de Culture médias sur Europe 1.

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Jacques Legros parle "d'excès" par rapport au nombre de femmes croisées par PPDA

"A chaque fois qu'on voyait passer une jeune fille jolie, on se disait : 'Ah, pourvu que Poivre ne la croise pas...'", se souvient l'ancien collègue de PPDA. "Mais c'est tout ! Et ça ce n'est pas un délit encore", nuance le journaliste. "Tout dépend ce qu'on met dans le mot 'excès'", lui fait remarquer Philippe Vandel. "'Excès', en nombre de femmes qu'il croisait", lui précise alors Jacques Legros. "C'est tout ce qui se savait, le reste, c'était derrière la porte", conclut-il. 

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