«C’est violent quand on te l’apprend» : Laura Felpin se confie sur son cancer de la thyroïde

Après avoir annoncé, fin mars, être atteinte d’un cancer de la thyroïde, l’actrice et humoriste de 35 ans se confie sur son nouveau quotidien, marqué par la maladie, dans une nouvelle interview accordée à "Paris Match".
Ses vidéos humoristiques sur Instagram et son rôle d'Annick, la baba cool hilarante de la série Le Flambeau de Jonathan Cohen ont fait d'elle une figure incontournable du paysage humoristique français. À 35 ans, Laura Felpin a le vent en poupe, et une solide communauté de fans, qui l'ont également adorée dans Bref.2, diffusée en février sur Disney +. Quelques semaines après la sortie de la série culte de Kyan Khojandi, au détour d'une interview pour le magazine GQ, la trentenaire a annoncé être atteinte d'un cancer de la thyroïde et avoir subi, en décembre 2024, une première opération chirurgicale pour retirer un nodule.
"Cette épreuve me recentre sur le sens de l'existence"
"C'est violent quand on te l'apprend. Mais ça a été pris en charge à temps", confie-t-elle cette semaine dans les colonnes Paris Match. Bientôt à l'affiche de la comédie L’amour, c’est surcoté avec Hakim Jemili, l'actrice tient à en assurer la promotion, malgré la fatigue. "Parce que ça me tient à cœur, parce que je suis vivante aussi, et que c’est mon boulot", assure-t-elle.
Après ça, Laura Felpin, qui a multiplié les projets ces cinq dernière années, a décidé de lever le pied pour se concentrer sur sa guérison. Elle devra désormais suivre un traitement à vie. "Je suis en train de traverser une épreuve qui me recentre sur le sens de l’existence... La thyroïde est un organe qui régule tout : tes émotions, ta pousse de cheveux, ta perte de poids, si tu as froid, si tu as chaud", explique la comédienne, avant d'ajouter, en plaisantant : "Je vis de beaux moments".
Dans cette épreuve, l'humoriste peut compter sur le soutien de l'homme qui partage sa vie depuis quatre ans. "Je vis une histoire d’amour formidable avec quelqu’un qui me considère comme son égal (...) et qui est autant attentif à ses besoins qu’aux miens", se réjouit-elle. Nul doute que son cher et tendre saura multiplier les attentions pour qu’elle affronte son traitement en toute sérénité.