«J’ai tout tenté» : Jennifer Aniston révèle s'être battue, en vain, pour tomber enceinte

Un témoignage qui devrait parler à beaucoup de femmes. Dans une interview pour le magazine américain Allure, Jennifer Aniston parle pour la toute première fois de son combat pour devenir mère. La star de la série Friends confie avoir très mal vécu sa trentaine et sa quarantaine à cause de la pression constante qui pesait sur sa vie personnelle et sa vie sentimentale.

"J'ai fait des fécondations in vitro"

Mariée à Brad Pitt de 2000 à 2005, puis à Justin Theroux de 2015 à 2017, l'actrice a pendant longtemps été au centre de toutes les rumeurs dans les tabloïds. "C'était un sacré défi de tomber enceinte. Et toutes ces années de spéculations autour de ma vie privée, c'était vraiment difficile. J'ai fait des fécondations in vitro, j'ai bu du thé chinois, j'ai tout fait", explique-t-elle dans les colonnes d'Allure. "J'aurais donné n'importe quoi si quelqu'un m'avait dit, 'congèle tes œufs, rends-toi ce service.' Ce n'est pas quelque chose auquel on pense. Donc je suis dans cette situation aujourd'hui. C'est maintenant passé. C'est terminé", déclare la star qui affirme pourtant n'avoir "aucun regret". 

"Ce sont des mensonges absolus"

Jennifer Aniston dénonce par ailleurs la cruauté des médias, qui ont jugé la manière dont elle menait sa vie professionnelle et personnelle. "On disait que j’étais égoïste. Que je ne me souciais que de ma carrière", se souvient-elle. "Et Dieu interdit à une femme de réussir et de ne pas avoir d'enfant". L'actrice dément la rumeur selon laquelle Brad Pitt l'aurait quittée parce qu'elle ne voulait pas lui "donner" des enfants. "C'était des mensonges absolus", lâche-t-elle. "Je n'ai plus rien à cacher à présent. J'ai passé tellement d'années à protéger cette histoire de fécondation in vitro. Je suis très protectrice de cette partie de ma vie, parce qu'il y a si peu de choses que je peux garder juste pour moi."

A 53 ans, la comédienne s'estime aujourd'hui libérée d'un poids. Elle a ainsi fait le deuil de son désir de maternité. "En fait, je ressens un petit soulagement parce que maintenant, il n’y a plus de 'Est-ce que je peux ? Peut-être. Peut-être. Peut-être'. Je n’ai plus à y penser", conclut-elle.