Est-ce la gamme peplum présentée par YSL pendant la Fashion Week qui donne à la campagne ce climat guerrier ? Comment se sentent les concurrents avant d'entrer dans l'arène ? Europe1.fr a sélectionné le meilleur des petites phrases de la semaine.
A l'heure de l'empire romain. "Un mur c'est fait avec des fils, des barbelés, (…) comme à Rome, il y avait un mur. La paix a duré quatre siècles", a déclaré Arno Klarsfeld lundi sur BFM TV, proposant de bâtir un mur entre la Grèce et la Turquie, afin de lutter conte l'immigration clandestine.
Un air de peplum. "Il y avait un aspect peplum qui m'a frappé" a déclaré Bertrand Delanoë; le maire de Paris au sujet du méga meeting de Nicolas Sarkozy à Villepinte.
Comme Spartacus ? "Le seul qui puisse le battre, c'est François Hollande", a affirmé Manuel Valls à propos de Nicolas Sarkozy, sur Europe 1 mardi.
Le combat jusqu'à la mort. "Vous pensez que les Français (...) veulent que je me livre moi-même à un combat de rue ?", a demandé François Hollande vendredi soir dans l'émission Des paroles et des actes, sur France 2. Le candidat socialiste se posait de nouveau en rassembleur du peuple, dénigrant la vulgarité et l'excès du candidat de l'UMP.
Le pouce en l'air. "On va gagner" a proclamé Nicolas Sarkozy à l'issue de son discours lors d'un déplacement à Meaux, vendredi. Et ce, deux jours après que les courbes de sondages des principaux candidats se soient croisées pour la première fois depuis janvier 2011.
Au premier rang dans l'arène. "Je fais beaucoup d'erreurs (…) je fais très attention mais j'ai très peur", a reconnu Carla Bruni à propos de son rôle de Première dame, sur le plateau de C à vous sur France 5.