Manuel Valls, candidat à la primaire socialiste, a estimé mardi à Montpellier que l'effacement de la dette grecque, recommandé par Dominique Strauss-Kahn, "pourrait être une solution" qu'il ne faut pas "balayer d'un revers de la main".
Alors que la note de l'Italie a été dégradée dans la nuit de lundi à mardi, le candidat à la primaire socialiste a estimé que l'ex-directeur général du FMI avait eu dimanche "raison de dire que l'impératif est de sauver la Grèce", parce que "l'effet de domino est là".