Manuel Valls a lancé mardi soir en direction de la droite qu'il ne "laisserait jamais dire qu'il y a des failles là où il n'y en a pas", après l'attentat de Nice qui a fait 84 morts.
"Une remise en cause inacceptable de la parole publique". "A Nice, le soir de l'attentat, des effectifs importants étaient déployés : 185 policiers nationaux et 20 militaires de l'opération Sentinelle, aux côtés de la police municipale. Prétendre le contraire - et plus encore quand on est un élu de la ville - est une remise en cause inacceptable de la parole publique", a lancé le Premier ministre en visant l'ex-maire de Nice Christian Estrosi (LR), en ouverture du débat à l'Assemblée nationale sur la prolongation de l'état d'urgence.