"Est-ce que j'ai envie de revenir? Non", lâche l'ancien président, selon des propos rapportés par l'hebdomadaire Valeurs actuelles, à paraître jeudi. Mais "il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus avez-vous envie ? mais aurez-vous le choix ?. "Dans ce cas (...), effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie, par devoir. Uniquement, parce qu'il s'agit de la France", ajoute l'ancien chef de l'Etat, battu par François Hollande le 6 mai 2012.
Dans le même temps, Nicolas Sarkozy n'a "pas envie d'avoir à faire au monde politique qui (lui) procure un ennui mortel", selon d'autres propos rapportés dans l'article. Des propos qui ont suscité les railleries de l'actuel gouvernement.