Cambriolage au Comité Miss France : "Ça me donne le bourdon", confie Geneviève de Fontenay

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Grégoire Duhourcau
Geneviève de Fontenay confie au micro de Matthieu Belliard sur Europe 1, avoir vécu "un choc" en constatant le cambriolage du Comité Miss France. Elle tient toutefois à relativiser et assure ne pas avoir l'intention de porter plainte.
INTERVIEW

"Ça m'a fait un choc." Ce sont les premiers mots de Geneviève de Fontenay au micro de Matthieu Belliard sur Europe 1. Le siège du Comité Miss France, qu'elle préside toujours, a été cambriolé dans la nuit de mardi à mercredi à Saint-Cloud dans les Hauts-de-Seine. Pas moins de 40 robes, portées pendant des élections, ont été volées.

"C'est une partie de ma vie." Parmi les robes qui ont disparu, il y a celle que Sonia Rolland a portée lors de son élection en 2000 : "Je devais lui rendre mardi prochain, on déjeune ensemble." "C'est une partie de ma vie. Ça me donne le bourdon par moments, c'est pour ça qu'il faut que je continue à être occupée, à faire mes coups de gueule", confie la dame au chapeau.

Malgré tout, elle ne compte pas porter plainte. "Ce n'est pas la peine", selon elle. Geneviève de Fontenay tient à relativiser cet événement par rapport à "tout ce que l'on entend et ce que l'on voit en ce moment" : "Ce ne sont que des robes." Elle ne souhaite donc pas donner à ce cambriolage "plus d'importance que cela doit en avoir".

 

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C'est "moins dramatique que d'aller voler des gens qui n'ont rien". Même si elle avoue qu'elle n'aurait "jamais imaginé ça", Geneviève de Fontenay estime que cela est "moins dramatique que d'aller voler des gens qui n'ont rien". Elle avait toutefois l'intention de faire don de certaines de ces robes à Emmaüs "parce qu'il y a des femmes qui n'ont pas les moyens de s'acheter des robes".