Le calme avant la tempête. Dans un peu plus d'un mois, ils seront 35 mobilisés nuit et jour dans ce TROC. Des agents du comité d'organisation bien sûr, mais aussi de la préfecture de police, de la SNCF ou encore de la RATP. Avec un objectif : simplifier la vie de tous les utilisateurs.
"S'il y a des incidents de transport, on va pouvoir d'ici informer l'ensemble de ses clients en temps réel de la meilleure solution pour eux, pour qu'ils puissent faire leur travail, aller profiter du spectacle ou simplement gagner leur médaille olympique", explique Pierre Cunéo, directeur des Transports de Paris 2024.
Une aide précieuse
Le TROC, c'est une immense pièce tapissée d'écrans. Pour l'instant, ils restent en veille, mais à partir du 10 juillet, ils seront d'une précieuse aide. "On verra la localisation de nos bus et donc on sera capable d'identifier ce qu'on appelle des pincements, c'est-à-dire des zones où ça se ralentit. Et en lien avec la préfecture de police qui sera présente ici, d'être capable de diligenter des forces pour les sortir d'un embouteillage. Et si c'est un athlète pour pouvoir être sûr qu'il soit à l'heure à son site de compétition", détaille le directeur des transports pour les JO.
>> À LIRE AUSSI - JO-2024: la répétition de la cérémonie d'ouverture prévue lundi est reportée en raison du fort débit de la Seine
Les utilisateurs de transports en commun, notamment les 10 millions de spectateurs attendus cet été. Toutes les informations recueillies par le TROC seront disponibles sur l'application Transport public Paris 2020.