Ligue 1 : PSG-Marseille le 16 mars, diffusé dans six salles de cinéma en Imax

Le match PSG-OM qui se tiendra le 16 mars prochain en clôture de la 26ᵉ journée de Ligue 1, va être diffusé en direct dans six salles de cinéma en qualité Imax, a annoncé vendredi le géant de l'audiovisuel, en partenariat avec DAZN, diffuseur de la rencontre.
Le Classique Paris SG-Olympique de Marseille le 16 mars prochain en clôture de la 26ᵉ journée de Ligue 1, va être diffusé en direct dans six salles de cinéma en qualité IMAX, a annoncé vendredi le géant de l'audiovisuel, en partenariat avec DAZN, diffuseur de la rencontre. "Pour la première fois en France, IMAX proposera du sport en direct avec la diffusion exclusive du Classique de Ligue 1 entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille, le 16 mars", explique Imax dans un communiqué.
Six salles IMAX/Pathé, cinq en Ile-de-France, une dans les Bouches-du-Rhône, équipées d'écrans géants et de projecteurs haute définition associés à ce format de pellicule, retransmettront la rencontre entre le PSG, leader de Ligue 1 et l'OM, son dauphin. "La France est l'un de nos plus grands marchés en croissance dans le monde. Nous y avons 24 cinémas ouverts et 12 autres sont signés et ouvriront dans les prochaines années", expliquait en novembre Richard Gelfond, directeur général d'IMAX, à l'occasion d'un entretien accordé à l'AFP, où il dévoilait ses investissements sur le marché français.
"Produit Ligue 1"
DAZN, détenteur des droits de 8 rencontres de Ligue 1 par journée pour 400 millions d'euros annuels jusqu'en 2029, se débat pour augmenter son nombre d'abonnés en France qui plafonne à 500.000. La plateforme britannique en espère 1,5 million en décembre 2025 et pourrait, si elle n'atteignait pas ce chiffre, dénoncer son contrat, conclu en juillet 2024 avec la LFP.
Le mois dernier, la Ligue avait assigné en référé DAZN devant le tribunal de commerce de Paris pour s'assurer du paiement par la plateforme britannique d'une échéance financière que celle-ci menaçait de ne pas honorer, évoquant des conditions d'exploitation difficiles liées au piratage et au manque de coopération de certains clubs pour mettre en valeur le "produit Ligue 1".
DAZN avait fini par payer les 35 millions d'euros qu'elle devait à la Ligue qui en retour avait abandonné la procédure. "Nous n'avons aucune intention de partir", affirmait alors Brice Daumin, le patron de DAZN France à l'AFP. "Nous sommes là sur du long terme comme dans chaque pays où nous possédons des droits. On ne veut pas activer cette clause, ce serait un désastre pour tout le monde".