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Paris-Roubaix 2025 : sur les pavés de l'Enfer du Nord en compagnie de l'équipe Cofidis

Charles Bouchain - Mis à jour le . 1 min

À deux jours du départ, la 122ᵉ édition de Paris-Roubaix s’annonce épique avec un tracé modifié et l’ajout de deux secteurs pavés supplémentaires. Les coureurs, dont ceux de l’équipe Cofidis, peaufinent leurs préparatifs dans le Nord. Entre ajustements techniques et reconnaissance des pavés légendaires, chaque détail compte avant l’Enfer du Nord.

La 122ᵉ édition de Paris-Roubaix se prépare à vivre des moments intenses ce dimanche 13 avril. Cette année, les cyclistes devront affronter un tracé modifié avec l’ajout de deux secteurs pavés rendant cette classique encore plus exigeante. À seulement deux jours du départ, les équipes affûtent leurs derniers préparatifs.

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Les coureurs de l’équipe Cofidis sont déjà dans le Nord pour une reconnaissance du parcours. Alexis Renard, l’un des membres de l’équipe, a partagé ses impressions après avoir roulé sur la mythique Trouée d’Arenberg. “J’ai couru hier, donc je suis un peu fatigué, mais dans l’ensemble, ça tourne bien", a-t-il confié, malgré la poussière et la fatigue. Le coureur est concentré sur les ajustements techniques pour faire face à l’Enfer du Nord. "Les pavés ici sont bien plus mauvais que ceux des Flandriennes", explique Alexis Renard, soulignant l'importance de tester les pressions des pneus et de préparer les placements stratégiques avant les secteurs les plus difficiles.

La route menant à la Trouée d'Arenberg a été modifiée

Cette année, des modifications ont été apportées à l’itinéraire, notamment avant la Trouée d’Arenberg. Le parcours a été réajusté pour des raisons de sécurité, afin de réduire le nombre de chutes fréquentes sur ces routes redoutées. À la fin de ce secteur de 2,3 kilomètres, les coureurs devront continuer à se battre pour conserver leur rythme.

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Du côté des mécaniciens, l’équipe Cofidis se prépare également avec minutie. Franck, un des techniciens de l’équipe, veille au bon état des vélos. "Les pavés exigent une attention particulière. On vérifie chaque serrage, chaque détail pour éviter les casses et les crevaisons", explique-t-il. La mécanique parfaite est indispensable pour que les coureurs puissent se concentrer sur l’effort sans souci technique.

Dimanche, 259 km de course attendront les participants, dont 55 kilomètres de pavés. Une épreuve de résistance physique et mentale, où les coureurs devront être à la fois stratégiques et solides pour traverser l’Enfer du Nord.