L’utilisation de la motorisation diesel permettrait d’obtenir des consommations et des émissions ce CO² encore inférieures.
Et pourtant, Toyota n’envisage pas de développer l’hybride diesel pour des raisons écologiques…
Pour préserver l’environnement, il faut réduire les émissions de dioxyde de carbone. La Toyota Prius hybride est d’ailleurs passée sous la barre symbolique des 90 g au km. C’est la première du classement ADEME 2010 pour les véhicules à essence avec un rejet de CO² de seulement 89g/km.
Réduire les émissions de dioxyde de Carbonne, c’est bien, mais pas suffisant.
Le diesel émet énormément de particules et de NOx.
NOx, comprenez, oxyde d’azote. C’est une famille de gaz rares qui sont émis par les motorisations diesel, plus encore que par les moteurs à essence.
Ces gaz sont encore plus nocifs pour la santé et pour l’environnement que les émissions de CO². On les retrouve dans les pluies acides, ils creusent le trou de la couche d’ozone ou encore augmentent les irritations des muqueuses chez les enfants ou les personnes sensibles.
Or, à travers la technologie hybride, Toyota cherche à réduire l’impacte de ses véhicules sur l’environnement. Le choix d’une motorisation essence va donc dans ce sens.