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Narchomicide d'un adolescent : cinq personnes, dont un mineur, en détention provisoire

Europe 1 avec AFP . 1 min
Seine-Saint-Denis : un homme porteur de couteaux tué par la police à Dugny
(Photo d'illustration de la police). AFP / © Jean-Marc Barrère / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Le parquet d'Aix-en-Provence a indiqué ce samedi que cinq personnes, dont un mineur, ont été placées en détention provisoire. Elles sont suspectées d'être impliquées dans le meurtre d'un adolescent de 17 ans en juin 2024. Son corps avait été retrouvé dans le canal de Craponne, à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône).

Cinq personnes, dont un mineur, ont été placées en détention provisoire, car suspectées d'être impliquées dans le meurtre en juin 2024 d'un adolescent de 17 ans, dont le corps avait été retrouvé dans un canal des Bouches-du-Rhône, a indiqué samedi le parquet d'Aix-en-Provence.

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Le corps de l'adolescent avait été découvert dans un canal le 28 juin 2024

Une sixième personne a elle été placée sous contrôle judiciaire. Tous les suspects avaient été placés en garde à vue jeudi, comme l'avait révélé Le Dauphiné Libéré. Ils ont été mis en examen des chefs "d'homicide volontaire en bande organisée", "enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime", a précisé à l'AFP le procureur de la République, Jean-Luc Blachon.

"Il s'agit d'un homicide lié à des groupes criminels impliqués dans le trafic de stupéfiants", a-t-il expliqué. L'enquête est menée par la section de recherches de la gendarmerie de Marseille, qui a procédé aux interpellations "dans les Bouches-du-Rhône et ailleurs", selon le parquet.

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Le corps de l'adolescent, originaire de Grasse (Alpes maritimes) et tué à coups de couteau, avait été découvert le 28 juin 2024 dans le canal de Craponne, à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône), rappelle également La Provence. Selon le quotidien, le jeune homme était connu pour des faits liés au trafic de stupéfiants et cité dans un dossier de règlements de comptes dans les Alpes-Maritimes. Selon le procureur, il pourrait avoir été victime d'un "guet-apens".