Selon Christian Estrosi, la mise en place de la TVA sociale ne provoquera "pas de hausse des prix". Interrogé mardi soir sur Europe 1, le député-maire UMP de Nice a affirmé que la hausse de 1,6% de la TVA, prévue en octobre 2012, "ne touchera pas du tout les produits de première nécessité, notamment les produits alimentaires".
Évoquant une baisse des cotisations pour les entreprises de 5,4%, il a exigé "que soit répercutée la baisse des charges sur les prix." Avant de défendre les avantages de la mesure pour l'économie française, "parce que les produits d'importation, eux, paieront plein-pot".