Le vice-président égyptien Omar Souleimane a estimé jeudi, à la télévision nationale, que l'élection présidentielle, prévue "en août ou en septembre", ne pouvait "pas être différée". "Nous sommes tenus par des échéances", a-t-il expliqué. En attendant, il a indiqué que le gouvernement "allait procéder à des amendements importants". "Le président a vu que les revendications (des manifestants) étaient légitimes et acceptables", a-t-il estimé.