Il a marqué les téléspectateurs par sa bonne humeur et sa joie de vivre. Yoann Riou, éliminé samedi dernier de l'émission Danse avec les stars, est revenu sur son expérience, jeudi matin, sur Europe 1. S'il admet lui-même ne pas être un bon danseur, le journaliste de L'Équipe a confié avoir aimé participer à l'émission de TF1.
"C’est ça qui est génial, c’est que beaucoup de gens se sont reconnus en moi. J’ai perdu 22 kilos, je ne sais pas danser. J’adore cette émission parce qu’elle est bienveillante sur des gens qui ne savent pas danser. Je ne sais pas, et je ne saurai pas danser", avoue Yoann Riou, avec sa verve habituelle.
"J’ai eu la chance d’avoir une extraordinaire danseuse avec moi pendant sept semaines. C’est comme si on disait à un footballeur du dimanche qu’il va s’entraîner avec Neymar pendant sept semaines et qu’il pourra jouer deux minutes avec lui au Stade de France ou au Parc des Princes", dresse-t-il comme parallèle en parlant de sa partenaire, la danseuse professionnelle Emmanuelle Berne. "J’ai eu la chance d’avoir avec moi une danseuse professionnelle. C’est une génie cette fille ! C’est dingue, je ne sais pas danser, je ne sais pas faire un pas de danse, je n’arrive même pas à danser au Macumba, et là on me met le samedi soir sur TF1. Là, c’est une grande tristesse de ne plus y être", assure Yoann Riou.
Il a perdu plus de 20 kilos pour l'émission
Yoann Riou, connu pour ses commentaires enflammés sur la chaîne L'Équipe, s'est énormément préparé avant le début de l'émission, s'astreignant à un gros régime. "Je mesure 1,60 m, je pesais 105 kilos. Il y a beaucoup de résilience dans l’émission, aujourd’hui je pèse 84 kilos. Je pensais être heureux il y a trois mois avec mon triple menton, mais en fait, j’étais profondément malheureux. De faire du sport, quatre heures par jour, ça m’a remis une santé mentale et physique. Je me suis redécouvert, j’ai montré une autre facette de ma personnalité. On ne peut pas mentir sur un parquet", raconte le journaliste. "Je n’ai pas pris de soda depuis trois mois, pas de kebab. Je ne voulais pas démarrer en étant incapable de suivre le rythme."