"Maintenant, c'est Jean-François Copé qui prend et qui assume cette responsabilité. C'est dommage mais, allez, il y a encore des heures à discuter", a réagi le député-maire de Nice et pro-Fillon, Christian Estrosi, mercredi matin sur sur Europe 1, quelques minutes après que Jean-François Copé a estimé, toujours sur Europe 1, que "les conditions" pour l'organisation d'un référendum interne à son parti, n'étaient "pas réunies".
"Nous n'avons cessé depuis des jours de réclamer que les militants puissent voter de nouveau, c'est ce qu'ils souhaitent, c'est ce qu'ils attendent, (...) là où nous savons que les conditions de l'élection du 18 novembre ont été manipulées, faussées, viciées", a rappelé l'élu de Nice.