Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice, a dénoncé jeudi soir des "méthode au relent politique évident" après la mise en examen de Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" dans le dossier Bettencourt.
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"Chacun remarquera que cette décision intervient 48H après la mise en cause d'un ministre socialiste sans doute pour faire compensation", écrit le député, membre de l'association des amis de Nicolas Sarkozy, dans un communiqué.
Il souligne que " Nicolas Sarkozy a déjà dit que ces allégations en pleine campagne présidentielle et sans le moindre début d'une preuve relevaient de l'argutie politicienne". "Je dénonce ces méthodes au relent politique évident", ajoute-t-il en "espérant que la justice de notre pays ne permettra pas longtemps encore l'instrumentalisation de cette affaire".