Publicité
Publicité

Policiers attaqués : Valls et Cazeneuve dans des commissariats de l'Essonne

Europe1 .fr avec AFP - Mis à jour le . 1 min
cazeneuve valls 1280
Samedi, le département a été le théâtre d'une violente attaque de policiers par une dizaine de personnes armées de cocktail molotov. Image d'illustration. © PHILIPPE DESMAZES / AFP

Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur visitent plusieurs commissariats, deux jours après l'attaque qui a visé plusieurs policiers à Viry-Châtillon. 

Manuel Valls et le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, ont entamé lundi matin à Savigny-sur-Orge une tournée de commissariats de l'Essonne, deux jours après l'attaque avec des cocktails Molotov de policiers à Viry-Châtillon.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Soutien à la police. Le Premier ministre et Bernard Cazeneuve doivent ensuite se rendre auprès des policiers d'Athis-Mons, Juvisy et Evry pour apporter leur soutien, au lendemain de cette attaque qui a blessé quatre agents, dont deux grièvement. Ils s'entretenaient en milieu de matinée à huis clos avec des policiers du commissariat de Savigny-sur-Orge.

Un policier dans "un état sérieux". Le pronostic vital de l'un d'entre eux était "engagé" dimanche selon une déclaration du parquet . "Son état est sérieux, il est pris en charge de façon absolument remarquable par les personnels hospitaliers" et "je suis convaincu qu'il se remettra", a déclaré pour sa part Bernard Cazeneuve lundi sur RTL. Ce policier appartient au commissariat de Savigny-sur-Orge. Une policière, elle aussi sérieusement blessée, vient elle de celui d'Athis-Mons, les deux derniers étant eux, basés à Juvisy.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

En mission de surveillance. Les policiers effectuaient une mission de surveillance à proximité d'un feu rouge de la cité difficile de la Grande Borne, à cheval sur les communes de Viry-Châtillon et Grigny, un secteur connu pour ses vols avec violences sur des automobilistes, lorsqu'ils ont été la cible d'une "dizaine" de personnes "cagoulées" selon le ministre.