Raie sur le côté particulièrement étudiée, sourire "ultrabrite" zéro défaut : Justin Bieber, du haut de ses 16 ans, a une gueule d’ange. Oui mais voilà, le petit chouchou des Américains pourrait bien avoir un côté "bad boy". Le célèbre chanteur de Baby, révélé sur internet, est accusé par le père d’un jeune garçon de 12 ans d’avoir frappé son fils.
Une enquête ouverte
L’agression se serait déroulée vendredi dernier, au centre de jeux Planet Laser, à Richmond, en banlieue de Vancouver, au Canada. Il est difficile de connaître le déroulement exact des faits. Tout ce qu’on sait, c’est que le jeune garçon s’est plaint de cette agression auprès du personnel du centre, et que son père rendu au centre de police pour porté plainte, deux heures après l’"incident".
"Nous enquêtons (…) Le père a prévenu la police, le garçon a eu des blessures minimes qui n’ont pas nécessité d’intervention médicale (…) Nous recherchons des témoins", a expliqué à Radaronline Annie Linteau, caporal de police.
Un simple incident de jeu ?
D’après plusieurs témoins, cités par TMZ, l’adolescent chanteur s’amusait à dégommer tous ses ennemis, lorsqu'il s’est retrouvé "coincé" par plusieurs enfants. Décidé à ne pas se laisser tuer, virtuellement bien sûr, la star aurait tenté de se dégager. C’est alors qu’il aurait percuté le garçon de 12 ans.
Or, les parents du jeune homme avancent une autre version, selon laquelle Justin Bieber aurait volontairement frappé leur enfant.
Seulement égratigné
Malgré tout, les faits vont à l’encontre des parents du jeune homme, car le fils était à peine égratigné, et n’a pas eu besoin d’assistance médicale. Et c’est sans compter sur le rebondissement de lundi : le site TMZcite des témoins de la scène, qui déclarent que le jeune garçon aurait traité Justin Bieber de "tapette", et s’en serait spécifiquement pris à lui lors du jeu.
Véritable agression ou occasion rêvée pour les parents du jeune homme de récupérer un peu des millions sur lesquels Bieber est assis ? Pour le moment, Justin Bieber, pourtant très bavard sur Twitter, n’a pas réagi à ces accusations.