Alexandra Lamy a trouvé son équilibre. À 52 ans, l'actrice sait enfin ce dont elle a besoin pour être heureuse et se sentir en accord avec elle-même. Après avoir enchaîné les jours de tournage puis les interviews pour son nouveau film La promesse verte, en salles le 27 mars, Alexandra Lamy se ressource chez elle, dans le sud de la France. "Mes parents, ma sœur, ma meilleure amie, tout le monde est là, c'est chez moi. La nature, j'en ai besoin, c'est un truc qui me met raccord", confie-t-elle au magazine Elle. Aucun homme ne partage ce quotidien paisible avec Alexandra Lamy, qui savoure son célibat.
"Quand je m'engage, je vis à fond"
"Heureuse de sa liberté", la comédienne profite aussi de son temps libre pour mener des combats qui lui tiennent à cœur. Son principal ? La lutte contre les violences faites aux femmes. "L’image et la com' font partie de mon métier d’actrice, le reste m’appartient. Mais quand je m’engage, je vis à fond", assure l'actrice dans les colonnes du Elle. En janvier dernier, Alexandra Lamy a signé dans Libération une tribune dénoncent fermement le comportement de Depardieu, mis en examen pour viols et agressions sexuelles.
>> LIRE AUSSI - Alexandra Lamy répond à Anny Duperey après ses propos polémiques sur Judith Godrèche
L'actrice a récemment interpellé Anny Duperey, qui a qualifié de "chasses aux sorcières tardives" les plaintes déposées par Judith Godrèche contre Benoît Jacquot et Jacques Doillon : "Vous voulez dire à toutes ces femmes que vous n’aimez pas la chasse aux sorcières tardive mais ce ne sont pas des sorcières, ce sont des violeurs, des criminels. Il faut dire à toutes ces victimes que vous n’aimez pas la chasse aux violeurs et aux criminels tardifs !", s'est-elle insurgée dans un message partagé sur X.
Alexandra Lamy le reconnaît, elle n'hésite pas à "mettre les mains dans le cambouis" pour défendre la cause des femmes. Un combat ô combien légitime et nécessaire alors que 84.000 plaintes pour des faits de violences sexuelles, physiques ou psychologiques ont été enregistrées en 2023 selon un rapport du ministère de l'Intérieur. Les victimes sont à 85 % des femmes, les agresseurs à 96 % des hommes.