Ségolène Royal a indiqué vouloir "mettre de l'ordre dans la maison France" et rappelle que si elle est élue tout "élu qui sera condamné pour des faits relevant de peines privatives de liberté sera retiré de ses fonctions et inéligible".
François Hollande a quant à lui prôné "la réforme du statut pénal du chef de l'Etat". "Nous avons la possibilité de redonner du souffle à notre démocratie" a rappelé le candidat en évoquant la victoire de la gauche aux élections sénatoriales.