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Cyril Hanouna - Retailleau, Bayrou, Larcher... pourquoi ils ne peuvent pas prétendre à Matignon selon Gauthier Le Bret

Europe 1 . 1 min
Cyril Hanouna - Retailleau, Bayrou, Larcher, Cazeneuve... pourquoi ne peuvent-ils pas prétendre à Matignon selon Gauthier Le Bret ?
Cyril Hanouna - Retailleau, Bayrou, Larcher, Cazeneuve... pourquoi ne peuvent-ils pas prétendre à Matignon selon Gauthier Le Bret ? ©

Le gouvernement de Michel Barnier ne tient plus qu'à un fil et l'heure est déjà aux pronostics pour la succession du Premier ministre. Alors que plusieurs noms ressortent déjà sur son possible successeur, pour Gauthier Le Bret certains sont mal partis dans la course à Matignon. Vous voulez réagir ? Composez le 01.80.20.39.21.

Qui pour succéder à Michel Barnier au poste de Premier ministre ? Sébastien Lecornu , actuel ministre des Armées, apparaît comme une hypothèse crédible. Actuellement en tournée avec le président, certains y voient comme un signe de future nomination. Cependant, rien n'est encore joué et d'autres noms circulent également. Bruno Retailleau, François Bayrou, Gérard Larcher ou encore Bernard Cazeneuve font partie du quinté. Mais aux yeux de Gauthier Le Bret, aucun d'entre eux ne peut rêver trop grand. 

Retailleau, Bayrou, Larcher, Cazeneuve, pourquoi font-ils des mauvais candidats ?

Selon le chroniqueur de "On marche sur la tête" , l'actuel ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau "ne dirait pas non à Matignon" mais ne passerait pas auprès de l'aile gauche des macronistes composée, entre autres, de Gabriel Attal. De son côté, le maire de Pau, François Bayrou, a le problème inverse : il présente trop à gauche pour Les Républicains qui ne se rangeraient pas derrière lui. Cependant, il a comme avantage d'être "favorable à la proportionnelle", un point qui peut séduire le Rassemblement national.

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Nommer Gérard Larcher, ne "serait pas un casus belli pour les macronistes et même pour le RN", mais nous pouvons nous demander s'il a envie de quitter la présidence du Sénat "pour un poste hyper précaire qui peut s'arrêter à tout instant". Enfin, pour ce qui est de Bernard Cazeneuve, le chroniqueur estime qu'on peut "l'oublier complètement" comme "on oublie complètement la gauche de manière générale" qui se ferait censurer immédiatement à leur nomination. 

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