Sylvie Vartan est sortie de son silence vendredi pour dénoncer, dans un communiqué, de "fausses informations" sur une donation dont Johnny Hallyday aurait fait bénéficier leur fils David.
"C'est moi qui ait voulu gratifier notre fils". "Je suis consternée des fausses informations qui circulent à dessein insinuant que mon fils David aurait été gratifié d'une partie de la maison que nous avions achetée à Paris avec son père il y a plus de 30 ans", dit-elle, affirmant avoir demandé à Johnny, au moment de leur divorce, de donner à leur fils la part qui devait lui revenir à elle. "Lors de notre séparation après 18 ans de vie commune, j'ai purement et simplement refusé de recevoir de Johnny, sous forme de donation, sa part de la maison, préférant que cela revienne directement à notre unique fils. (...) C'est moi, et moi seule, qui ait voulu gratifier notre fils", dit-elle.
"Privé de tout droit de regard" sur l'héritage "artistique". La chanteuse dément des informations de presse selon lesquelles son ex-époux "aurait aussi payé le redressement fiscal de notre fils": "Tout ça est scandaleux! Ce n'est que fabrication et mensonge". "Évidemment, je comprends bien les raisons pour lesquelles on cherche à travestir la vérité afin d'atteindre mon fils", ajoute-t-elle. "Pouvez-vous imaginer une seule seconde ce que peut ressentir David, artiste lui-même, fils d'artistes, d'être privé de tout droit de regard sur la gestion de l'héritage artistique de son père?", s'insurge-t-elle encore. "Ça me sidère. C'est pour cela que je ne peux le tolérer et sors ainsi de ma réserve", conclut le communiqué de Sylvie Vartan, arrivée vendredi à Paris de Los Angeles, où elle réside.
La chanteuse ne s'était pas exprimée depuis que la bataille de l'héritage avait éclaté au grand jour en début de semaine.