À propos
Chaque matin, Jean Zeid livre ce qu’il se fait de mieux en matière d'innovation. Ce 9 février, il revient sur Panoramax, une base de cartographie libre et souveraine lancée par OpenStreetMap France et l'Institut national de l'information géographique et forestière.C'est l'heure des Initiatives Positives de Jean Zeid, la chronique des innovations au quotidien. Jean, bonjour.Ce matin, ce matin, on part prendre des photos. Peut on inventer une alternative à Google Street View, le service de photocartographie qui permet de naviguer virtuellement et à 360° dans des lieux situés sur des voies publiques, en ville ou à la campagne. Sauf que pour proposé ce service, il faut préalablement être enregistrées prendre des photos de toutes les rues et de tous les chemins de France. D’autres solutions que Google Street View existent, mais ce ne sont pas des outils en libres d’accès tout comme les outils qui vont avec. Services qui dépend généralement du bon vouloir des Gafam pour leur mise à jour. Et c’est cette liberté que propose depuis 2022 l’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière et OpenStreetMap France. Que propose ce duo ? Tout simplement de retrouver une souveraineté en matière de service de photocartographie. Il y a deux ans, l’IGN et OpenStreetMap ont lancé en 2022 Panoramax, un Street View libre et souverain dans le but de constituer une base nationale de photocartographie. Bien sur, il s’appuie sur des partenariats avec des acteurs publics, des collectivités territoriales comme le Grand Lyon ou l’Eurométropole de Strasbourg, des grandes entreprises comme Suez ou Veolia. Mais Panoramax compte aussi sur vous et moi, des citoyens volontaires qui peuvent sur leur temps libre améliorer cette cartographie. Comment ça marche sur le terrain ? Panoramax est allé au plus simple. On sort de chez soi, on se rend sur le terrain à photographie et on prend ses clichés. Ensuite, il n’y a plus qu’à la partager pour alimenter une grande base de données commune, ouverte et accessible à tout le monde. elle peut servir à différents métiers et différents usages, alors je la partage. Ainsi, cela permet à chacun d’économiser des aller venues en utilisant les photos de la communauté pour son propre besoin. Ces photos peuvent servir à vous et moi pour visualiser l’endroit précis où l’on veut se rendre, mais ça a aussi de vertus professionnelles. Ces photo peuvent très bien être utilisées pour analyser la qualité des routes ou des panneaux, des trottoirs et pourquoi pas des arbres pour les entreprises et les services concernés. En termes d’usages, c’est vaste. 6 mois après son lancement, Panoramax, 10 millions de photos pour 100 000 km de réseau routier ont été partagé par cette nouvelle communauté de contributeurs la création d’une visionneuse permettant de se déplacer dans un fonds de carte et voir l’endroit exact où les photos été prises.
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22 juillet 2024
Chaque matin, Jean Zeid livre ce qu’il se fait de mieux en matière d'innovation. Ce 9 février, il revient sur Panoramax, une base de cartographie libre et souveraine lancée par OpenStreetMap France et l'Institut national de l'information géographique et forestière.C'est l'heure des Initiatives Positives de Jean Zeid, la chronique des innovations au quotidien. Jean, bonjour.Ce matin, ce matin, on part prendre des photos. Peut on inventer une alternative à Google Street View, le service de photocartographie qui permet de naviguer virtuellement et à 360° dans des lieux situés sur des voies publiques, en ville ou à la campagne. Sauf que pour proposé ce service, il faut préalablement être enregistrées prendre des photos de toutes les rues et de tous les chemins de France. D’autres solutions que Google Street View existent, mais ce ne sont pas des outils en libres d’accès tout comme les outils qui vont avec. Services qui dépend généralement du bon vouloir des Gafam pour leur mise à jour. Et c’est cette liberté que propose depuis 2022 l’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière et OpenStreetMap France. Que propose ce duo ? Tout simplement de retrouver une souveraineté en matière de service de photocartographie. Il y a deux ans, l’IGN et OpenStreetMap ont lancé en 2022 Panoramax, un Street View libre et souverain dans le but de constituer une base nationale de photocartographie. Bien sur, il s’appuie sur des partenariats avec des acteurs publics, des collectivités territoriales comme le Grand Lyon ou l’Eurométropole de Strasbourg, des grandes entreprises comme Suez ou Veolia. Mais Panoramax compte aussi sur vous et moi, des citoyens volontaires qui peuvent sur leur temps libre améliorer cette cartographie. Comment ça marche sur le terrain ? Panoramax est allé au plus simple. On sort de chez soi, on se rend sur le terrain à photographie et on prend ses clichés. Ensuite, il n’y a plus qu’à la partager pour alimenter une grande base de données commune, ouverte et accessible à tout le monde. elle peut servir à différents métiers et différents usages, alors je la partage. Ainsi, cela permet à chacun d’économiser des aller venues en utilisant les photos de la communauté pour son propre besoin. Ces photos peuvent servir à vous et moi pour visualiser l’endroit précis où l’on veut se rendre, mais ça a aussi de vertus professionnelles. Ces photo peuvent très bien être utilisées pour analyser la qualité des routes ou des panneaux, des trottoirs et pourquoi pas des arbres pour les entreprises et les services concernés. En termes d’usages, c’est vaste. 6 mois après son lancement, Panoramax, 10 millions de photos pour 100 000 km de réseau routier ont été partagé par cette nouvelle communauté de contributeurs la création d’une visionneuse permettant de se déplacer dans un fonds de carte et voir l’endroit exact où les photos été prises.
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